Perso j’estime qu’on a toutes et tous un temps limité. A mon sens un des objectif du collectif est de permettre au maximum de monde de migrer vers un chaton. Ceci implique beaucoup de temps à investir dans la communication, l’ergonomie des outils, le support, l’accompagnement. En un sens, on devrait probablement prioriser ces sujets par rapport aux CGU.
L’audit des portées se focalisent trop sur les CGS, peut être avec l’idée (fausse?) que si un chaton a pris le temps d’écrire des CGS alors le chaton a probablement pris le temps de faire des backups, réfléchir à sa pérennité, etc.
C’est aussi parce que les CGS sont un moyen simple d’auditer, un critère tangible et vérifiable, contrairement à plein de points de la charte qui sont plus difficile à vérifier.
Par ailleurs, il est tout à fait probable que les seules personnes à lire ces CGS soient les personnes qui les publient et les chatons qui auditent la portée… (peut être que des chatons avec des stats diront le contraire, mais j’en doute fort) En tout cas chez ReflexLibre, depuis que j’ai arrêté le mode contrat pour passer en mode CGS, j’ai vraiment l’impression que personne ne lit ce texte.
Si on ajoute que ce genre de texte pour être complet doit inclure des mentions légales, des dispositions RGPD qui dépendent de la nature exact de l’activité du chaton et certains éléments pour faire face à des jurisprudences, qu’en plus il s’agit de faire en sorte de protéger du mieux possible les 2 parties, je me dis qu’au final s’inspirer très fortement d’un modèle conseillé pour une situation donnée n’est pas si bête. Exemple: si on fait un chaton gratuit inutile de se taper tout ce qui n’a rien à voir.
Bref en résumé, moi je pense qu’il faut comme pour l’adminsys prémâcher au maximum le travail, car en réalité il restera plein de boulot pour faire connaître son chaton, maintenir le bidule et répondre aux demandes entrantes.
Ceci étant, créer un formulaire c’est du travail et ça pourrait éventuellement limiter la contribution (car pour rappel, ça n’inclus pas les dispositions RGPD, pourtant il faudrait).