salut J !
Non j’ai pas fait le taré avec pleins de zones.
Je n’ai pas de 1to1 (un domaine herbergé pour une zone intra : faut pas deconner quand meme ! )
Par contre je viens de « me prendre une remise en question » par stéphane Bortzmeyer, en général quand il parle DNS : on tends l’oreille , plutot deux fois qu’une …
La crainte qu’il a émise c’est quand l’ICANN va autoriser les .intra .local etc …
On aura de gros soucis.
Moi « le mal » est fait j’ai ma zone « ilinux.fr » et « issoire-linux.org » (j’ai reservé ces 2 domaines) en externe (deux zones bind). Et deux zones internes : « ilinux.dmz51 » et « ilinux.lan666 », donc rien de délirant.
Je me permets de rapporter ses dires (et le remercie au passage pour le temps pris à répondre):
doit-on, en 2019, continuer de créer une zone interne style
ilinux.lan et une zone DNS externe , elle exposée : ilinux.fr ?
Alors, une zone utilisant son propre TLD, surtout pas, en aucun
cas. C’est une bombe qui explosera N années plus tard, lorsque le TLD
en question sera délégué par l’ICANN et que tout un tas de trucs
déconneront tout à coup. (Même chose en cas de fusion/acquisition,
quoique ce soit plus rare pour des associations.)
J’entends tout et son contraire : personnellement je préfère deux
zones (comme ci-dessus) , mais certains disent : ils te faut une
seule zone DNS (interne comme externe) : ilinux.fr
Il y a donc deux choix possibles, ilinux.fr avec des vues différentes
selon qu’on est en interne ou en externe, ou bien un local.ilinux.fr
(ou lan ou prive).
Dans un monde de BYOD, de VPN, de gens qui utilisent un résolveur
« alternatif », il me semble que la première méthode est mauvaise,
menant à des problèmes qui seront difficiles à déboguer (« tu utilises
quel résolveur DNS ? » « Euh, c’est quoi, un résolveur DNS ? »)
Donc, plutôt local.ilinux.fr. Si on veut cacher les ressources
internes, les déléguer à des serveurs faisant autorité purement
internes.