Bonjour,
Le GT SM2TP souhaite partager avec l’ensemble des CHATONS les deux sujets suivants :
1 : Garde-t-on le nom SM2TP où avez-vous des propositions de nom sympa pour le produit en cours d’élaboration ?
Si on attend trop sur le choix d’un nom, on aura sans doute pas mal de rework à faire. Du coté du GT, le nom actuel reste possible mais il n’est pas enthousiasment non plus. Y a-t-il des créatifs chez les CHATONS ?
2 : Avez-vous des préconisations sur le choix des licences ?
Pour l’instant, on est plutôt sur une GNU GPL ou GNU AGPL sauf si on fait une ou plusieurs librairies qu’on mettraient plutôt en GNU LGPL.
Pour les librairies qu’on serait amené à utiliser, on est plutôt sur l’idée de conserver la licence initiale.
Comme nous ne sommes pas des experts du sujet, toutes vos idées seront grandement appréciées.
N’ayez pas peur de répondre. Vous ne vous engagez à rien d’autre sur le projet
il y avait déjà eu une proposition de nom : Bubble Mail (source), personnellement pas fan.
si je perçois bien l’ambition de SM2TP, il s’agit de mettre en place un service apte à garantir le bon transport du courriel vers les destinataires ; le nom devrait refléter cette ambition.
deux voies se dessinent alors : l’une, qui favorise la compréhension d’un public francophone ; l’autre, qui s’ouvre à l’internationalisation en favorisant un nom anglophone. c’est aux développeurs de définir ici leur intention
Pour qu’une librairie de code soit très adoptées, il faut en général qu’elle soit pas totalement contaminante (d’où BSD/MIT).
Alors qu’un logiciel (avec interface) qui n’est pas censé être inclus dans de nombreux autres projets peut facilement être mis sous licence contaminante pour le protéger du pillage du libre…
Voilà l’idée de base, mais j’ai pas suivi ce que vous comptez dev sous forme de lib et ce qui serait sous forme de logiciel. Du coup, je parle de façon général.
Et comme le soupçonne le premier poste, ça dépend aussi de la licence des librairies et des sous librairies, si certaines sont contaminantes vous pouvez ne pas avoir le choix (sauf à se passer de la librairie ou à truander sur les limites de sa licence). Enfin, ça c’est une réflexion juridique, car dans les faits, je pense qu’on peut trouver de très nombreux soft avec des incompatibilités de licence.