COVID19 : Lettre ouverte aux institutions nationales (EN)

pas de problème nico (j’emploie le prénom car ils sont clairement indiqué en cliquant dessus … si je ne me trompe ?) .
Je ne prends pas du tout cela comme une attaque.pas du tout.
c’est un débat d’idée : c’est passionnant.
… et je te suis sur beaucoup (vraiment beaucoup) de points.
Surtout évitons de généraliser , à mon avis.
Mais clairement je vous épargne des courriels qu’on reçoit en ce moment au niveau fonctionnariat : si vous saviez … Je ne peux même pas m’exprimer ici … et nul part d’ailleurs.
Et je salue ton choix de quitter un bateau véreux (j’ai lâché « 3400€ » en région parisienne pour aller en province : les « attentats » et la crise actuelle …et à venir, plus grande encore, me donnent raison) , moi j’ai aussi deux enfants , mais bientôt je vais avoir pleine liberté : ça ne sera plus pareil.

La lettre , oui elle est pas mal. Mais ce sera un énième coup d’épée dans l’eau.
Désolé mais le combat va bientôt se jouer ailleurs …

Je comprends tout à fait la position, il n’est bien sûr pas question d’engager tout le collectif sans que tout le monde ai émis un avis, dans tout les cas la page hébergeant la lettre n’aurait porté la signature que de ceux qui le souhaite. Mon message reflète juste les possibilité qui ont été discuté pour savoir où et comment peut on faire une lettre de ce type au sein du collectif. Nous n’avions rien prévu de cavalier si j’ai mal formulé j’en suis désolé.
Merci pour ta réponse

je pense que nous avons bien conscience des enjeux de la fracture numérique. Mais les axes sur lesquels nous nous sommes mis d’accord lors de la "tentative de " finalisation ont été réduits. Il nous fallait établir un plan général et essayer de limiter les idées diffusés dans le texte, Merci quand même d’avoir participé (et ça vaut pour tout ceux qui ont proposé des choses qui n’ont pas forcement été conservé)

Aucun problème @zommak d’autant que je loue le boulot effectué, merci à vous tous, j’aurais dû commencer par cela. C’est moi qui aie été cavalier pour le coup :slight_smile:
C’est juste que pour moi on ne peut pas répondre individuellement à la question : « d’accord pour une publication au nom du collectif ? ».

Je viens de faire une passe syntaxique, quelques fautes, quelques simplifications de syntaxe. Elles n’engagent que moi, il est possible de revenir en arrière. Pour les plus simples j’ai pris sur moi de modifier directement (l’historique est là si cela ne convient pas) ; pour deux ou trois d’entre elles, j’ai rayé, laissant la décision à l’éditeur final.

En prenant en compte les dernières modifications dont notamment celle à la fin qui propose de remplacer « Assurer la gestion des services en interne. » par « Assurer la gestion des outils numériques nécessaires en interne, de manière décentralisée », Leprette.fr est d’accord pour co-signer la lettre et donne son accord pour une signature au nom du collectif.
Merci @zommak @Cpm et @ljf pour votre travail.

J’ai milité pendant des années pour pousser des gens qui étaient alternatifs à passer au libre, à se sensibiliser aux questions de données personnels et vie privée. Ça n’a pas été facile ! pourtant c’était des personnes déjà sensibles aux problématiques associées. Aujourd’hui ça change, ça bouge, grâce à Framasoft, grâce aux Chatons, grâce à Snowden, grâce à la RGPD,…
Mais il y a encore de la route à faire !
Je ne pense pas que ce soit bien de taper sur l’ignorance des gens, au contraire il faut les accompagner, les former, les aider ! Pas attendre qu’ils prennent conscience par magie !
Je suis certain que non informaticien, il y a tout un trajet qui t’a mené à sortir des rangs. C’est ton histoire personnelle qui t’a amené là. Tu ne peux pas attendre que tout le monde ait la même histoire que toi !
Comme le répète souvent Pyg : la route est longue mais la voie est libre !

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Salut,
On a déjà eu des discussions sur la difficulté de faire participer tous les Chatons à la vie du collectif même lorsque c’est important. Je pense que ce serait une gageur de vouloir avoir l’assentiment de tous les membres du collectif pour parler en son nom. Mais d’autre part ce serait dommage de ne pas pouvoir utiliser la force d’un tel collectif.
Par conséquent, je pense qu’il faudrait qu’on se mette d’accord pour déterminer à quel moment on peut parler au nom du collectif. Il me semble que si la quasi-totalité de ceux qui s’expriment sur une question sont d’accord (en l’occurrence cette lettre ouverte) pour impliquer le collectif, on devrait pouvoir agir au nom du collectif en partant du principe que « qui ne dit mot consent » !
Mais ça devrait sans doute être officialisé !

(PS : Ce chantier a été lancé il y a plus de 15j, ce qui a laissé pas mal de temps pour s’exprimer !)

ARN signe la lettre également.

Nous sommes donc pour la publication de cette lettre.
Pour ce qui est de la publication au nom du collectif ou au nom d’une liste de signataires, en tant que président d’ARN, à défaut de processus décisionnels clairs, j’estime qu’il faudrait au moins l’approbation des 3/4 des chatons (52 CHATONS) et aucun veto sur le texte pour le signer au nom du collectif.

Ces conditions n’étant manifestement pas réunis, je suis POUR la publication au nom des signataires et CONTRE la publication au nom du collectif (il sera toujours temps de rejoindre le texte a posteriori pour les CHATONS qui le souhaitent).

J’estime que ce n’est pas grave si nous ne sommes pour le moment pas en mesure de nous exprimer au nom du collectif, par contre j’ai proposé un point sur nos modes de décisions lors de la prochaine réunion mensuelle.

Pour Hadoly :

  • pour ou contre la publication de la lettre ? Pour
  • est-ce encore pertinent de l’envoyer lundi ? oui
  • d’accord pour une publication au nom du collectif ? OUI
  • d’accord pour une publication au nom d’une liste de membres signataires ? Hadoly est signataire

Comme je l’ai dit plus haut, je considère que ça pourrait avoir plus de poids de parler en un seul nom. Je ne pense pas qu’obtenir 3/4 des Chatons soit un bon critère. Si les Chatons sont d’accord que des décisions soient prises une fois que tous ceux qui contribuent sont d’accord ça permettra d’avancer. Si on attend que tout le monde ou presque se prononce, on ne fera jamais rien. On en a déjà discuté.

Et en l’occurrence, cette lettre mériterait à mon avis un engagement collectif !

Concernant l’asso dont je suis issus nous n’avons pas pu trouver de consensus, Nebulae ne pourra donc pas signer la lettre.

J’ai fait un bilan rapide en espérant n’avoir oublié personne on a dix membres du collectif qui sont ok
1/7e des membres c’est clairement peu, publier sur chatons.org semble exclu, et vu notre nombre je doute qu’on obtienne une place dans un média facilement. (mais peut être que je me trompe, si quelqu’un a de l’expérience sur le sujet je suis preneur)
Mais il y a quand même des soutients donc:
L’alternative à laquelle je pense c’est une publication sur une plateforme en mode pétition avec les organisations qui ont validé le texte en premier signataire et la possibilité pour les individus d’appuyer le texte si ils le souhaite. Quelqu’un à d’autres suggestions?
Si on part sur cette idée quelle plateforme vous semble la plus adapté (une qui correspondrait à nos principe en l’occurence)

Après concertation, Défis se joint au collectif pour la signature de cette lettre.

@dadel Ça peut être un projet de se mettre d’accord pour fixer des règles pour la prochaine fois. Mais en l’absence de règle a priori, on ne peut pas décider pour les autres, même silencieux (selon moi).

Picasoft est en train de se décider (vote organisé en interne), mais on risque de ne pas signer vu que pour le moment il y a une majorité relative significative contre (avec 50% des votants).
Si ça se confirme on expliquera pourquoi.

Justement, il faut que les enseignants soient vigilants et envoient péter leur hiéarchie débile et que les usagers du services ruent dans les brancards !

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Bonjour à toutes et à tous.
J’interviens un peu tardivement. Je vous fais part de mon avis tout d’abord comme responsable de la fcpe Rhône Métropole…et membre fondateur de Hadoly.
J’ai pas tout lu du pad. Mais je pense que grosso-modo, c’est méconnaître l’organisation de l’éducation nationale que d’en évoquer au ministre. Les compétences d’équipement réseaux + serveur + poste de travail sont de la compétence des collectivités territoriales. Ainsi que du personnel qui en assure la maintenance.

Bref. Si vos enfants sont scolarisé en primaire ou maternelle → aller voir votre maire
Si vos enfants sont scolarisés en collège → allez voir votre conseiller général ou métropolitain.
Si vos enfants sont scolarisés au lycée → allez voir votre conseiller régional

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Enfin, sans vouloir être polémique, mais un peu quand même, je trouve très bizarre qu’un collectif qui porte des principes de décentralisation pour nos données invoque un pouvoir central hypothétique comme si celui ci avait les moyens de tout décider et de tout ordonner.

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A mon avis ça dépend des services numérique. Les ENT ont l’air d’être géré par les Délégation Académique au Numérique pour L’Éducation. Donc par chaque académie. Mais d’après ce lien il s’agit d’une compétence partagée:
http://www.ih2ef.education.fr/fr/ressources-par-type/outils-pour-agir/le-film-annuel-des-personnels-de-direction/detail-d-une-fiche/?a=102&cHash=fa2c3c0948

Pronote et les classes virtuelles du CNED c’est le ministère visiblement.

Mais je me rend compte qu’un des élément du texte a disparu concernant justement le fait de placer la gestion des services au plus prêt des usagers finaux.

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La magie de cette décentralisation fait qu’on ne sait plus à qui s’adresser ! Sans compter que l’enseignant dépendant statutairement du MEN peut difficilement demander à une collectivité quelque chose.
Je passe aussi sur le fait que les collectivités (et les entreprises titulaires des marchés) se contre foutent des demandes pédagogiques : par exemple, dans ta région (Auvergne Rhone Alpes) le marché des lycées a été globalement remporté par Atos qui ne sait pas gérer les problématiques ÉducNat et qui empêche un lycée d’avoir des postes sous GNU/Linux (alors que la demande d’utiliser un SE libre figure dans au moins un programme d’enseignement)

Donc, oui, il faut une autorité pour rappeler aux collectivités et aux entreprises qu’elles ne doivent pas faire ce qu’elles veulent. C’est bien le sens d’un ministère de l’Éducation Nationale ?

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