Merci @Maxime :
- Le passage par un prestataire bancaire (passer de être à avoir un chaton me semble une triste pirouette) [je pense qu’aucun chaton dont les services sont payants ou où la contribution financière est encouragée ne passe ce test]
- sujet abordé lors de la précédente révision, cas d’un fournisseur externe, fourniture spéciale, compromis accepté
- L’utilisation d’un fournisseur de certificats (Let’s Encrypt), qui ne respecte pas la charte chatons, ni du logiciel libre (hormis le client) [idem]
- Wikipédia me souffle que le serveur est également un logiciel libre (voir article )
- c’est un fournisseur d’une fourniture externe (un certificat), il n’héberge pas un chaton ou un bout de chaton.
- clairement, suite à la dernière révision, le cas des fournisseurs était prévu d’être approfondi (exemple du fournisseur d’électricité…) mais ça ne s’est pas fait, faute de volontaire, mais ça peut encore se faire.
- Des fonctionnalités d’accessibilité aux personnes déficientes visuelles rendues possibles par l’appel à une API vers un service non libre. [concerne a priori toutes les installations d’OnlyOffice]
- très bonne question, ça demande à être approfondi, ouvrons un fil de discussion pour l’étudier
- pour OnlyOffice, il faudrait aussi se poser la question de l’usage d’un format non ouvert…
- profiter d’un logiciel libre pour mettre en place une domination logiciel sur les utilisateurs, voilà qui est révoltant. Le collectif pourrait dénoncer et chercher des alternatives libres.
- Du logiciel dont le code serait disponible, mais dont l’utilisation serait restreinte (par exemple : pas d’usage militaire, pas d’usage par les GAFAM,
- tout restriction aux 4 libertés du logiciel libre fait que ce n’est pas un logiciel libre
- de telles restrictions génèrent d’énormes inconvénients pour les utilisateurs, tout en étant vaines car les armées et les GAFAM ont suffisamment de moyens pour réécrire tout code dont il voudrait profiter
- ou tout simplement pas de licence indiquée).
- en droit (français, américains…), l’absence de licence implique automatiquement que c’est un logiciel privateur, utilisable par personne sauf l’auteur, puisqu’aucune indication de conditions d’utilisations.
Je confirme qu’il y a des points à expliciter et approfondir dans le collectif. Mais ce n’est pas une raison pour abaisser nos valeurs au premier obstacle