Section « Ouverts », préambule
Bien vu. Tant qu’à faire, Je rajouterais même :
Vote en plusieurs parties
Mon but était justement de soumettre aux votes une contre-proposition à la clause « 100% logiciel libre », en modifiant également les clauses adjacentes / liées (100% formats ouverts, 100% réseaux sociaux libres). Pour moi c’est le but de cette révision, et c’est aussi la raison pour laquelle il me semble pertinent d’en délimiter sa portée : c’est pour éviter le vote en plusieurs parties, qui ne sera pas pratique à mettre en œuvre.
Je pense que le vote final sera donc du « tout ou rien », et si la révision n’est pas adoptée, on repassera par la suite sur les critères qui font plus l’unanimité que les autres.
Clause « restitution des données »
Ta proposition me semble déjà couverte par ce critère existant, section « Ouverts » :
le CHATON s’engage à faciliter la possibilité pour les hébergées à quitter ses services avec les données associées dans des formats ouverts ;
À la différence que les formats de données ne seraient peut-être pas ouverts dans le cas d’un logiciel propriétaire comme FoundryVTT. Plutôt que d’ajouter une clause potentiellement redondante, peut-être qu’on peut adapter l’existante pour prévoir ce cas ?
Ta suggestion conviendrait dans le cas d’utilisation de logiciels comme FoundryVTT ou Teamspeak, mais ne prend pas du tout en compte les services propriétaires (non auto-hébergées) qui induisent de fait un transfert de données. Je pense aux cas où le candidat CHATONS déclare ne pas avoir le choix d’utiliser des services propriétaires pour faire fonctionner ses services, comme dans les cas de Paheko avec le mail AWS ou d’Osuny avec Netlify et KeyCDN. On sera sans doute amené·es à voir plus de cas dans ce genre avec des déploiements « industrialisés » / à grande échelle.
Attention : l’idée n’est pas de faire rentrer l’usage de ces services-là dans les clous de la Charte (et encore moins de les encourager), mais je pense que c’est important de ne pas les rendre éliminatoires de fait, et de laisser les CHATONS décider pendant le vote, d’où cette proposition qui nous laisse assez de flexibilité :
le CHATON doit utiliser autant que possible des logiciels libres sur son infrastructure ainsi que pour le traitement des données hébergées, et se doit de lister sur son site web tout logiciel utilisé qui contreviendrait à ce critère. La validité de ces exceptions est laissée à l’appréciation du collectif ;